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25 avril 2024

La street art accompagne le projet de Nice Méridia

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Quatre artistes sont intervenus sur près de 80 mètres de palissades de chantier de Nice Méridia

Cette démarche initiée par l’EPA Eco-Vallée, la Métropole Nice Côte d’ Azur et les promoteurs Pitch Promotion, Amétis et Idéom, témoigne de la volonté d’inscrire l’art durablement dans ce nouveau quartier de l’Eco-Valléeimage021.jpg

De la phase chantier à la livraison des opérations, l’art irriguera le quartier, sous une forme libre mais permanente, participant au parcours culturel et artistique, accessible et ouvert à tous, promu sur la ZAC Méridia.

image022.jpgElle s’inscrit dans la continuité de l’accompagnement artistique des travaux de la Ligne ouest-est du tramway, et plus globalement de la municipalité niçoise , qui a décidé d’inscrire sa politique artistique dans l’espace public depuis 2014.

Mettre l’art au cœur des projets urbains repose sur des ambitions et des valeurs telles que le vivre ensemble, la mixité, la qualité architecturale, l’éco-exemplarité. image023.jpg

Les artistes qui participent au chantier

Pour sa performance, Brian Caddy a décidé de faire un clin d’œil à Jean Nouvel qui a conçu les immeubles Pléiade & Odyssée. Il a créé des anamorphoses et utilisé des tons chers à l’architecte : le gris, le noir, le rouge, l’ocre et le vert. Il mêle dessins, anamorphoses et rappelle le rapport à la nature de ses bâtiments.

A travers son œuvre baptisée « Love Eco-Valley », Faben livre son interprétation de l’éco-vallée. Elle donne à voir la nature, un futur dynamique, un renouveau pour la ville et ses habitants. Pour Faben, le bâtiment en construction de Jean Nouvel devant lequel il est intervenu est en accord avec l’environnement, « il donne de l’air frais et positif ». On peut apercevoir sur la fresque le personnage « Mr Lover » qui s’accroche à une idée maîtresse « l’Art Réalité est le doux rêve de la fiction d’hier ». L’artiste y a distillé aussi un message de paix et d’amour.

Dans Nice Méridia, Francois Nasica a baptisé sa performance « « Aller, c’est aller vers l’autre » » et y exprime l’importance et la nécessité de réunir plutôt que de diviser. Ce qui l’a séduit dans la proposition d’intervention artistique de l’EPA est la dimension écologique et sociale du quartier.

Otom : son art est inspiré par la BD, le cyberpunk et le BMX. Entre couleurs vives et travail du noir et blanc, entre minutie de ses dessins et style plus relâché du graffiti, entre velouté de ses portraits et pugnacité du street art. Son œuvre offre une large palette de contrastes. Il peint sur les murs de Rome, de Lisbonne et de Nice.

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